Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 100 millions d’euros d’investissements en 2024

Si le marché de la vente en nue-propriété de gré à gré, c’est à dire entre un vendeur et un acquéreur particulier, résiste à la conjoncture économique, la présence des fonds d’investissement s’était considérablement réduite ces derniers mois. Pourtant, après avoir sondé ses différents interlocuteurs, Boris INTINI, directeur général de PraxiFinance confirme l’accélération dès le printemps 2024.

« Nous travaillons au quotidien avec plusieurs banques et fonds d’investissements et nous constatons que la concrétisation des dossiers en cours reprend. Pour ces fonds, la vente en nue-propriété est un marché d’avenir » précise Boris INTINI.

Depuis plusieurs années, la vente en nue-propriété s’est imposée comme l’alternative à la vente en viager. Elle permet à un propriétaire de vendre uniquement la nue-propriété de son bien (les murs) à un investisseur bancaire, tout en gardant l’usufruit, et donc la jouissance de son bien. Cette solution financière lui permet de percevoir d’importantes liquidités, de 40 % et 60 % de la valeur de son bien, en un seul versement, lors de la signature chez le notaire.

Pour les propriétaires, la vente en nue-propriété permet d’anticiper les transmissions à leurs héritiers, ou de profiter de cette importante trésorerie pour concrétiser des projets d’achat de résidence secondaire, de réaménagement et d’adaptation de leur domicile, ou de faire face à un besoin financier particulier.

« En étant le seul acteur du marché français à proposer à la fois la vente en nue-propriété, le crédit hypothécaire, le prêt viager hypothécaire et le portage immobilier, nous disposons de toutes les solutions financières pour monétiser un patrimoine immobilier. L’accélération des fonds d’investissement sur la vente en nue-propriété est une excellente nouvelle pour les propriétaires qui souhaitent bénéficier d’une importante trésorerie, utilisable librement. » poursuit Boris INTINI.

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